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    Il est difficile de réaliser un test de paternité si vous avez du mal à obtenir le consentement du prétendu père. Pourtant, si après maintes discussions, vous n’avez pas réussi à le convaincre d’effectuer un prélèvement, et que vous voulez sortir de l’incertitude, il existe une solution : recueillir des échantillons discrets. Il vous suffit ensuite de les envoyer à un laboratoire étranger pour réaliser un test ADN de paternité.

    Les échantillons les plus fiables pour un test ADN de paternité

    Pour un homme, le sang et le sperme restent les plus intéressants pour l’échantillonnage, car l’empreinte génétique est présente à 90 %. Il est donc facile de réaliser les analyses ADN, et les résultats du test sont très fiables. Si vous souhaitez utiliser ces échantillons, il faudra trouver une trace de sang suffisamment récente (ex : un pansement qui vient d’être enlevé) ou recueillir le sperme à l’aide d’un mouchoir lors des relations intimes.

    L’échantillon buccal est également fiable. En général, les prélèvements destinés aux laboratoires s’effectuent par frottis buccal à l’aide d’un coton-tige stérile. Ce dernier va recueillir un échantillon de salive et des cellules à l’intérieur de la joue, qui contiennent des marqueurs génétiques à plus de 75 %. Les kits sont ensuite envoyés par la poste et les résultats sont disponibles après plusieurs jours ouvrables. Pour un échantillon discret, vous pouvez utiliser un chewing-gum. Pensez toutefois à mettre un gant pendant la manipulation.

    Les autres éléments marqueurs du patrimoine génétique

    Les cheveux et les ongles sont aussi utilisables pour réaliser des tests génétiques. Il faut des cheveux munis de leur bulbe ou racine pour faciliter le test. 10 à 15 brins suffisent. Si vous optez pour un échantillon d’ongle, il en faut des morceaux récemment coupés, où les marqueurs sont présents en grand nombre. La cire d’oreille présente sur les cotons-tiges est également fiable, et dans de nombreux cas il s’agit d’un échantillon relativement facile à obtenir.

    Afin de mettre toutes les chances de votre côté, pensez à envoyer plusieurs échantillons croisés pour l’expertise ADN, surtout si vous vous adressez aux laboratoires étrangers. Par exemple, vous pouvez associer cheveux et ongles, cheveux et cire d’oreille, etc. Cela vous évitera le souci de trouver de nouveaux échantillons, au cas où le test ADN de paternité n’ait pas pu être effectué en raison de l’insuffisance des éléments à analyser.

    Les échantillons inefficaces pour réaliser un test ADN de paternité

    Même si la salive constitue un échantillon de premier choix, il est déconseillé d’envoyer une brosse à dents pour les tests ADN. L’analyse risque tout simplement de s’avérer impossible. Même chose pour les pailles ou verre à boisson, ainsi que le mégot de cigarette. La présence de marqueurs ADN sur ce type d’objet est souvent inférieure à 60 %.

    De même, si vous recueillez une lame de rasoir dans l’espoir qu’il contienne des cellules issues de l’utilisateur, vous avez peu de chances d’obtenir satisfaction. Le laboratoire va vous demander d’autres échantillons et des frais supplémentaires pour leur traitement. Autant dire que vous aurez travaillé pour rien !

    Qu’en est-il du prélèvement chez l’enfant ?

    Il est assez facile d’effectuer un frottis buccal avec votre enfant, surtout s’il s’agit d’un bébé. Il suffit d’utiliser les écouvillons stériles fournis par le laboratoire pour un prélèvement à domicile. La seule précaution à prendre est d’éviter les traces de nourriture sur les échantillons. Pensez à réaliser le prélèvement en dehors des heures de repas. Avant le frottis, il faudra rincer la bouche de l’enfant à l’eau. Si vous vivez avec lui ou elle, il vous sera facile de recueillir un échantillon fiable en vue de réaliser un test ADN de paternité. Dans tous les cas, pour un mineur, c’est au représentant légal de remplir le formulaire de consentement.

    S’il s’agit d’un test prénatal, il suffit d’effectuer une prise de sang chez la mère à partir de la 9 e semaine de grossesse. Le sang contient des cellules fœtales où l’on prélèvera des échantillons d’ADN de l’embryon, à comparer avec les données issues du père biologique présumé.

    Que faire si l’on n’arrive pas à obtenir des échantillons discrets ?

    Le prélèvement d’un échantillon peut devenir un parcours du combattant si vous ne vivez pas avec le géniteur présumé de votre enfant. En cas de divorce, de séparation de corps ou d’absence prolongée du père prétendu, il faut trouver d’autres moyens pour prouver la filiation.

    Dans ce cas, vous pouvez effectuer un test avec d’autres membres de la famille de la lignée paternelle : les grands-parents, frères ou sœurs, un oncle ou une tante. Notons que ces individus partagent beaucoup moins de marqueurs avec l’enfant, mais le test reste possible et fiable si plusieurs personnes participent en même temps. Par exemple, collaborer avec vos beaux-parents vous permettra d’être fixée sur la filiation paternelle de l’enfant. Vous saurez ainsi si votre progéniture est bien issue de leur enfant. La participation d’un frère ou d’une sœur du père présumé va contribuer à la précision des résultats.

    Que faire des résultats du test ADN ?

    La réponse peut paraître évidente : il s’agit la plupart du temps d’établir un lien de filiation. Toutefois, il est préférable de déterminer le vrai but de l’analyse, surtout pour ce qui concerne l’enfant. Selon la loi française, les tests ADN visant à établir l’identité d’un enfant ne peuvent être effectués à titre privé. Les laboratoires de l’hexagone ne réalisent les analyses que si le demandeur bénéficie de l’aval des autorités. Il faut notamment faire une demande auprès du Tribunal de grande instance, en exposant clairement les raisons qui justifient la nécessité d’un test pour l’enfant. L’assistance d’un avocat est indispensable. Ainsi, vous pouvez demander un test en cas d’action en contestation de filiation ou de paternité, ou dans le cadre d’une recherche sur l’identité d’un enfant (cas d’adoption plénière, de procréation médicalement assistée, de doutes sur l’échange de bébé à la maternité…). C’est au juge du tribunal de décider si la demande est recevable.

    Il est souvent plus difficile de faire un test ADN discret sans le consentement du père présumé en vue de toucher une pension alimentaire ou des subsides, car les résultats n’auront aucune valeur juridique en faisant appel à un laboratoire étranger. Bref, le test légal découle forcément d’une démarche juridique bien justifiée. Cependant, la technique de l’échantillon discret pourrait vous servir pour connaître à l’avance l’identité du père biologique avant d’engager une procédure judiciaire visant la reconnaissance de paternité ou la contestation de paternité.

    Dans tous les cas, si vous voulez réaliser un test par convenance personnelle, il est fortement recommandé d’en discuter avec les personnes concernées et d’envisager les décisions à prendre une fois la filiation établie. Le couple a-t-il un projet parental et ce dernier survivra-t-il en cas de désaveu de paternité ? Au cas où la mère doit décider seule de l’avenir de son enfant, surtout s’il n’est pas encore né (possibilité d’IVG), il faudra effectuer le test le plus tôt possible, et si nécessaire en prélevant des échantillons discrets sur le présumé père.

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